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1. |
Invictus
01:01
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2. |
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Aigle du Mal, Aigle de Sang
Music: V. Orias A.
Lyrics: Vicomte Vampyr Arkames
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L’âme noire connaît l’existence
D’un passage entre deux mondes.
Celui de la décadence humaine et celui du royaume des enfers.
C’est Ici que s’élève notre temple.
Majestueux édifice, iconique.
Invisible, intouchable, impénétrable
Pour le commun des mortels
Seuls les élus
Ont dans leur sang
Ont sur leur peau
Indélébile, irréversible, intemporelle,
La clé qui brûle au fond de toi, laisse jaillir la lumière de Lucifer
Tu seras l’ordre autant que l’ordre te sera.
Quatre lettres gravées
A l’encre et de sang mêlé
Symbole éternel des initiés
Ouvre les yeux, le temple est révélé
La clé brûle au fond de toi, laisse jaillir la lumière de Lucifer
Tu seras l’ordre autant que l’ordre te sera.
Quatre lettres gravées
A l’encre et de sang mêlé
Symbole éternel des initiés
Ouvre les yeux, le temple s’est révélé
L’aigle du mal
Mystérieux corridor où la vie et la mort s’entremêlent
Enfantant des esprits aussi vils que chimères
Les mains libérées, dansent et forment les signes annonciateurs
Que les enfers appellent, que les enfers m’appellent !
Que les portent s’ouvrent et que les secondes deviennent calvaire !
Une myriade d’étoiles
Célébrerons l’extinction
Dans un vacarme assourdissant
L’humanité dans un flot de sang
L’Ame Noire en est la quintessence
Quelle Magnificence !
Qu’il suspende son vol un instant
Et s’abatte à présent :
L’aigle du Mal
La clé brûle au fond de toi, laisse jaillir la lumière de Lucifer
Tu seras l’ordre tant que l’ordre sera.
Quatre lettres gravées
A l’encre et de sang mêlé
Pour l’éternité.
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3. |
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Des siècles à mourir
Dans la solitude infinie
A se débattre, qu’un soupir
Éveille l’être tant meurtri
Mais rien n’y fait,
c’est écrit (c’est écrit)
Mon sang a coulé,
la lame a tranché
Ce qui restait de vie :
Le désastre s’en suit.
Des siècles à décrire
Le récit pathétique
Des spasmes frénétiques
parcourant l’enveloppe charnelle
Immuable tombeau sensoriel.
Qu’ils écrivent sur vos tombes
Mon nom
Synonyme de mort,
d’hécatombe
A Chacune des lettres
Avec le sang des traîtres.
Qu’advienne
Le vampire éternel.
Que coule le sang des traîtres !
La part d’ombre réprimée
Au plus profond
Ressurgit Maintenant.
Rien ne sert de lutter
l’appel du tréfonds,
Mène à la chute Inexorablement
Écrit mon nom, qu’ils sachent
Que je ne partirais pas seul,
L’homme et son monde,
S’éteindront , à l’heure du deuil.
Qu’ils écrivent sur vos tombes
Mon nom
Synonyme de mort,
d’hécatombe
A Chacune des lettres
Avec le sang des traîtres.
Qu’advienne
Le vampire éternel.
L’histoire revêt le sens
Que l’on veut bien lui donner.
Il est encore temps
De tout inverser.
Tristesse et désolation.
Solitude et damnation.
Mes maux distillent un poison
Qui s’infiltre, qui s’immisce
Sans répit, sous la peau.
Aucune rémission.
De ces mots, je prédis.
L’histoire sera
une page blanche
Qui, de votre sang, se gorgera.
Votre monde n’est plus que poussière
Balayant les corps, masquant la misère
Recouvrant tout, jusqu’aux visages.
Je contemple la chute, admire le carnage.
Vous avez choisi vos dieux
Vos temples et croyances
Je vous invite à prier à présent.
Et je gravirais
Une dernière fois cette montagne
Que la lune hypnotique
Guide mes pas fébriles
Et m’emporte
Là où le temps s’arrête
La vie est un supplice
Qui mérite délivrance.
Je m’écroulerai au sommet
Pour libérer les derniers râles et prêcher.
Vous, misérables humains,
Vous m’avez haï vivant
Vénérez-moi ....mort
Car mon sang qui coule est le votre
Nous ne faisons désormais plus qu’un
Je vous ai offert mes blessures
A moi le trône, l’investiture !
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4. |
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Ego sum daemonium, et gloriam Patris mei.
Bienvenue dans mon antre,
le lieu damné où la mort éternelle plane
Laissant interminablement glisser son voile funèbre sur vos âmes
Insignifiantes...
une morsure et l’hémorragie sublime le blanc immaculé de nos robes d’une constellation de notes sanguines annonciatrices d’une fin sublime.
De l’antre du démon, mon visage s’est dévoilé
Façonné,
conditionné,
à son image métamorphosé
Je suis le fils, je suis l’après
Oublie qui j’étais, c’est possédé que je renais
Enfermés, enlacés, enchaînés.
Toute émotion est inextricablement opprimée.
Une forteresse scrupuleusement cachée
Oú l’expression d’un cœur mutilé se meure dans un dernier râle inhibé.
Rejette ton Dieu
Efface tes vœux
Embrasse l’ineffable
Accepte le Diable.
L’âme noire est immense,
Un empire ouvert aux sens.
L’obscurité apparaît
A ceux qui se savent condamnés .
A genou devant ton maître
La tête baissé, les bras tendus
Je dessinerai sur ta peau
Les symboles libératoires
Marquant éternellement
Ta fidélité envers moi.
Tu portes en toi l’héritage de siècles
De domination, les secrets d’un monde inconnu bercé entre l’extase que provoque les plaisirs de la chaire et l’insoutenable souffrance dont les noirceurs de ton âme berceront tes nuits.
Laisse toi guider par tes sens, la barque des initiés te guidera dans cet interminable et initiatique périple, ton dernier voyage.
Au rythme de mes mots, tu te sentiras partir.
Ton cœur perdu ralentit, les lumières chavirent dans les méandres des restes de ta vie.
Ego daemonium
Prononce mon nom
Apocalyptique symphonie
Raisonne au firmament
Je suis le fils et le diable tout autant.
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5. |
La Noirceur des Limbes
04:41
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Le précipice n’est plus
qu’un lointain souvenir.
La chute inexorable conduit ici.
Le temps s’est arrêté, figeant l’existence
à une infinie réminiscence
de ce qui hante.
Mais il n’y a pas de fin
Mais il n’y a plus d’espoir
L’enfer se dessine au loin
Effusion mystique de sang à sa gloire
...La .... souffrance des uns
Dans cet immense mouroir
Offrande inique au parfum
De requiem en métal noir.
Le noir absolu, épais et asphyxiant, tétanise l’être prostré
qui se meure lentement.
L’agonie déchirante, continuelle et dévastatrice
s’empare des âmes meurtries encore en sursis.
Je te tendrais la main
A toi qui saigne
A toi qui me regarde d’en bas
Tes yeux me parlent
Supplient et supplient encore
Comme si j’étais le messie
Mais sais-tu au moins qui je suis ?
Prends ma main et tu sauras.
Il n’y a point de rédemption
Il n’y a point de purgatoire
C’est ta faiblesse qui t’a conduit ici
A l’aube de ta mort,
le cauchemar se poursuit.
Je te pleure les morts
Et les vies de mes mains libérées ici.
descendit ad inferna
Mors aeterna.
descendit ad inferna
Et n’en revient pas.
Mea inferno, est infernum.
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6. |
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Les êtres érudits ainsi contemplent
Dans l’obscurité grandissante du temple
Le déluge universel, miracle intemporel
Gouffre affamé, insatiablement cruel.
Les éléments ainsi nommés prennent part au bal des damnés
L’ordre est hermétique, le temple est scellé .
Que les chants au loin se fassent entendre
Que le chaos aussi perfide qu’inéluctable se répande.
Trois croix s’unissent
Déchirant l’équilibre ancestral
Trois voix récitent
Les versets inversés.
C’est Monumental .
Nous étions là au commencement
Nous écrasons toute vie à présent.
Au delà de tout, l’édifice mortuaire,
Au dessus de tout, la sépulture millénaire.
Trois croix s’unissent
Déchirant l’équilibre ancestral
Trois voix récitent
Les versets inversés,
c’est monumental.
Livrant au monde la lugubre incantation
Sonore délivrance, morbide incarnation.
Caressant les ténèbres, Frôlant les étoiles
Une passerelle temporaire pourtant s’y dévoile.
Vous les croyez Dieux, vous les voyez Diables
Nous sommes les deux, nous sommes intouchables
Vous les croyez Dieux, vous les voyez Diables
L’Ame Noire est ainsi, immensément inaltérable.
Vous les croyez Dieux, vous les voyez Diables
Nous sommes les deux, nous sommes intouchables
Vous les croyez Dieux, vous les voyez Diables
L’Ame Noire est ainsi,
Inaliénable.
Je souffle les secrets
Je dirige les perles de sang dans le labyrinthe Infernal
Je conjugue les sens et sacralise l’instant
Et guide vers le destin abyssal
Maléfice
Je vais, le vent, réveiller
Et je soufflerai, que les océans s’animent
et se creusent, oscillants
Les vagues submersives
à mes lèvres suspendues
Tel le glaive figé
prêt à s’abattre
Les entends-tu ?
Maléfice Maléfice
Les hommes tombent
Ils tombent pour moi
Maléfice Maléfice
Les hommes tombent
Trois croix s’unissent
Déchirant l’équilibre ancestral
Trois voix récitent
Les versets inversés,
C’est monumental.
Ravageant furieusement Les continents jusqu’au dernier
Laissant triomphante, la tour des initiés.
Et la terre tremblera, et la lave jaillira.
Pour que lui succède
Le règne des monarques funèbres.
Et je vois
les ténèbres
envelopper
D’un linceul funèbre
L’univers pétrifié
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7. |
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De l’acte odieux d’ostracisme
Naquit l’immémorial souffle
Ravageant terres et mers
Et rendant inéluctable
L’allégeance
———
Sortez de l’ombre
Venez à moi
Enfants de la nuit
Enfants devenus rois
Que se forme l’armée
Sans foi ni loi
Comme seule règle
Marcher dans mes pas
Rituel cabalistique
Vêtu de noir, couvert de sang
Invocation cataclysmique
Me voici parmi vous à présent
Noyés dans l’obscurantisme
En attente d’une voix
Illumine le chemin ultime
La part sombre de la foi
L’envie, la haine m’animent
Attisent encore l’émoi
L’apogée mystique décime
Seule l’âme vient à moi !
Rituel cabalistique
Vêtu de noir, couvert de sang
Invocation cataclysmique
Me voici parmi vous à présent
Les parfums d’apocalypse
Enivrent les légions déployées
Que survienne la dernière éclipse
Symbole funèbre, le glas a sonné.
La lumière faiblit,
le rituel peut commencer
Les premiers cris retentissent
Il est trop tard pour renoncer
Je suis l’unique
Je suis le vicomte
Mes choix iniques
S’imposent au monde
Ce qui en moi vit
Est indicible
A genou et supplie
miséricorde infinie.
Je suis l’innommable
Je suis Vampyr Arkames
Écrit avec ton sang
Mes lettres de noblesse.
Sortez de l’ombre
Venez à moi
Enfants de la nuit
Enfants devenus rois
L’enveloppe charnelle
Tant convoitée
Sinistre étincelle
De l’immense charnier.
Prête allégeance
Tu seras épargné
Le trône est mien
Et ne sera partagé
Un nouveau millénaire
Obscure apparaît
A mes côtés
Vous règnerez
Mort a celui
Qui niera
La grandeur céleste
De l’homme en noir
Aucune pitié
Tu périras
Ton destin s’achève
Le mien excellera.
J’écris avec ton sang
Mes lettres de noblesse.
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8. |
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Traverser les âges
Affronter le temps
La noirceur se vit
Seul
Infiniment seul
Que commence
La nuit sans fin.
Du doute au vertige
L’âme se noie
Dans l’océan de vide
Qui s’ouvre devant toi
Les blessures sont là !
Obscure est la nuit
Immense le tourment
Que l’appel de l’abîme
Soit pour vous délivrant
A genou je maudis
morales et serments
Le drame se poursuit
........Magistralement
Obscure est la nuit
Immense le tourment
Que l’appel de l’abîme
Soit pour vous délivrant
A genou je maudis
morales et serments
Le drame se poursuit
........Éternellement
La nuit noire de l’âme te mène jusqu’à moi
Pour des siècles et des siècles
Et voici l’appel
Irrésistible
Irrépressible
Inciser l’armure
Décomposer les fragments cellulaires
Pour laisser jaillir
La substance sacrée
Qui signe et scelle ton destin
au mien
Les années s’évaporent
Emportant avec elles
Les parfums de l’aurore Les visages de nos frères
Tomber en chemin
Pour la cause éternelle
Prêts à renaître enfin
En porteurs de lumière
Obscure est la nuit
Immense le tourment
Que l’appel de l’abîme
Soit pour vous délivrant
Je vous maudis
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9. |
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L’Allégeance suprême ainsi prêtée
De toute apparence humaine délivré
La noirceur absolue transcendée
La renaissance cosmique peut opérer.
Peuple d’outre-tombe, mirifiques ténèbres.
Porteur de la marque funèbre
Levez-vous ...prenez les armes !!!
Plus rien ici-bas ne nous arrêtera.
Au dernier combat, nous serons des milliards
A verser le sang, A connaître les larmes.
Libérez la flamme éternelle
Depuis des siècles dans nos cœurs en sommeil.
Universelle est la cause, Intemporel est l’espoir
De voir sombrer ce monde dans le chaos expiatoire .
prémonitions eschatologiques du Serpent,
Empoisonnent et submergent les esprits à présent.....
————
Noirceur absolue, Reine de mes nuits,
Doucement s’insinue, Absorbe toute vie
Emporte dans ta danse macabre
Ces mots, Mes dernières larmes.
Annihile toute once d’humanité
Glaçant un cœur mille fois lacéré
Apaise la haine, soulage mes maux
L’étreinte éternelle dans un sombre caveau
Sous la peau immaculée
se cache une âme damnée.
—————
J’ai renoncé à leurs dieux,
A leurs faux semblants
Goûté à l’extatique apostasie
Ouvert la porte vers l’infinie.
Je prononcerai les mots interdits
Inonderai le cercle de sang
Rejoignant au péril de ma vie
La noirceur absolue, reine de mes nuits
Aucun dogme n’est plus à respecter
La nuit noire est depuis longtemps tombée
Une seule voie...
C’est celle de l’obscurité !
Vous soumettre, impossible de résister
Vicomte dans l’âme, Diable pour l’éternité
A genou !
je vais vous guider !
Har-Maguédon
Har-Maguédon
La nuit est noire, absolue, de toute beauté.
Maintenant, humains, .... observez
Har-Maguédon
Har-Maguédon
La nuit est noire, absolue, de toute beauté.
Maintenant, humains, .... périssez
(Abreuvez-vous de mon sang royal,
Goutter à l’Infamie Ancestrale
Qu’enfin vous emporte
La symphonie des morts.)
Vous ne pourrez oublier
mon visage Saillant,
Souriant à la mort
Grimé en noir et blanc
Éradication fulgurante
Par milliers décimés
Océans de sangs
Au diable leurs lignées
Des cendres jaillit
un nouveau né
Sous la peau immaculée
se cache une âme damnée
De toute apparence humaine délivré
La renaissance cosmique va opérer.
Har-Maguédon
Har-Maguédon
La nuit est noire, absolue, de toute beauté.
Vampire éternel glorifié
Autant haï qu’admiré
Reconnaissable aux blessures
De l’âme, aux meurtrissures
Ma suprématie restaurée
Le nouveau monde peut enfin commencer.
Que l’unique soleil
Que je suis
A tout jamais
émerveille.
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